Pépins et pébroques !
Dans les écoles que j'ai visitées au mois de juin, on avait pris ses précautions car ici, la pluie n'est jamais loin.
A l'exposition de l'école Jean Macé "Suivez le courant", les parapluies étaient prêts, en prévision d'une petite averse.
A la maternelle Anatole France, ils étaient en train de sécher, ouverts et accrochés au plafond.
Une grosse pluie ( chez nous, on dit "une drache") était passée juste avant. Pour preuve les représentations des enfants (technique connue des coulures et du collage d'un dessin ou d'une photo inspirée des oeuvres de Marc Allante).
Mais il arrive parfois que les parapluies soient utilisés à d'autres fins:
Recouvert de plastique bulle et habillé de longues bandes de plastique, il peut représenter une méduse pour une fête d'école ou un défilé.
Des artistes s'inspirent de sa forme pour créer des installations poétiques.
Ceux de l'artiste britannique Luke Jerram sont flottants.
C'est au festival De Wereld van de Witte de With à Rotterdam qu'il fut invité à réaliser cette installation. On lui avait demandé de trouver un lien entre les rues et les voies navigables : parmi 15 projets qu’il présenta, “Just Sometimes” fut retenu par les organisateurs. Et environ 1000 parapluies flottèrent sur l’eau du canal sur une longueur de 300 mètres.
Au Portugal, les parapluies sont volants. Vous connaissez probablement tous et toutes cette photo de milliers de parapluies faisant comme un toit aux promeneurs pour les protéger du soleil cette fois.