Les cahiers de Joséphine

sur youtube Mon coup de coeur à l'exposition "Sreet Generation(s)" a été pour cette impératrice réalisée par l'artiste YZ in situ. Sur un mur de 3m de haut sur au moins 5 m de large, la créatrice a peint (acrylique, encre de chine), collé des objets de toutes sortes, récupérés de ci, de là (cailloux, morceaux de métal, tuyaux, etc.).Il en est résulté ce portrait impressionnant et bouleversant d'une jeune impératrice asiatique. Deux photos de l'artiste en pleine action, trouvées sur Internet

Le recyclage est  une deuxième nature pour les artistes de rue. Tous ne manient pas la bombe aérosol sur les murs des maisons ou des bâtiments publics. Certains aiment associer la peinture, le dessin avec la récupération d'objets.Ces exemples de créations vues à l'exposition "Street Generation(s)" illustrent mon propos.Une porte en bois avait adopté le très beau dessin à l'acrylique et bombe aérosol de SETH. Ses peintures me touchent beaucoup, peut-être parce qu'elles font référence à l'enfance. L'oeuvre de JR, faisait appel à... [Lire la suite]

Qui ne connait pas SPACE INVADERS et ses mosaïques qui envahissent toutes les mégapoles du monde, mais aussi des villes plus modestes.Visage masqué, il agit la nuit quand tout le monde dort. Flippant, me direz-vous? Non, car ses créations sont plutôt colorées et sympathiques.A l'exposition "Steet Generation(s)", nous avons eu la chance d'en admirer plusieurs, dont une réalisée uniquement avec des rubik's cubes et une autre géante. Génial! "Alias" "SK8//2" (skate) "Rubik Actarus" (assemblage de rubik's cubes sur plexiglas) ... [Lire la suite]

C'est la technique de Jacques VILLEGLÉ qui, dès 1949, a prélevé, au cours de ses flâneries dans les rues, des affiches lacérées sur les panneaux d'affichages publics. Il n'agit que très peu sur ces restes de papier qu'il colle sur des toiles. Ce qui l'intéresse c'est l'effet esthétique obtenu par la superposition des épaisseurs, la beauté d'une forme, celle d'un graffiti ajouté sur l'affiche, etc... Voci une de ses "toiles" vue à l'exposition "Street Generation(s)" à Roubaix. D'autres oeuvres à base de collages ont retenu mon... [Lire la suite]

On a l'habitude de prêter aux artistes graffeurs, une certaine façon de procéder : visage caché, ils envahissent les rues la nuit pour couvrir les murs des bâtiments de graffitis. Cependant beaucoup d'entre eux peignent également sur de plus petits formats (enfin, tout est relatif), sur des toiles qui sont ensuite exposées dans des galeries et vendues ou bien pour des commandes d'entreprises, d'administrations qui souhaitent avoir une oeuvre moderne dans leur hall d'accueil. A l'exposition, "Street Generation(s)", nous avons pu en... [Lire la suite]

Ils utilisent des pochoirs pour peindre d'immenses portraits sur les murs des immeubles, des maisons, des usines en friche ou sur des objets.J'en ai choisi 3 parmi d'autres, 3 artistes qui exposaient à la Condition Publique de Roubaix.C215 affectionne les boîtes aux lettres, (celle-ci faisait 2,72 m de haut) ..... "Les tirailleurs sénégalais" ...... mais pas seulement. "le monde du silence" "Nina" Ses oeuvres ont souvent comme supports des objets récupérés sur lesquels il aime faire les portraits des gens de la rue (... [Lire la suite]

A l'exposition "Street Generation(s)", nous avons été surpris par la taille de certaines oeuvres. Des murs de 5 à 6 m de long, de 3 m de haut avaient été couverts de fresques et de graffitis, faits sur place, tout exprès pour l'exposition. Géant !Il faut dire que le bâtiment de la Condition Publique, à Roubaix s'y prête bien : hauts murs de briques, poteaux et sol en béton, grandes verrières et toit-terrasse.En entrant les "éphémères à la bombe aérosol" de ZLOTY (Gérard Zlotykamien) nous accueillaient, visages un peu fantomatiques... [Lire la suite]

La Condition Publique est un lieu emblématique de la culture à Roubaix. Ce bâtiment, à l'architecture unique, était réservé jusqu'en 1972 au conditionnement de la laine et des soies venues des 5 continents. Réhabilitée et transformée en "Maison Folie", c'est maintenant un lieu de travail et de diffusion artistique, lieu de vie et de fêtes, comprenant des salles de spectacles​, des studios de répétitions, une maison pour les artistes, un café-restaurant, des salles d’expositions, une rue couverte et des terrasses sur les toits... ... [Lire la suite]

En référence à l'album "Bizarbres mais vrais" de Cécile Gambini, les CE1 de l'école Jean Jaurès ont imaginé des bizarbres complètement farfelus. Mais ils ne se sont pas contentés de peindre et de découper, ils ont aussi inventé une description fantaisiste de l'arbre.C'est joliment présenté sur des cartons arrondis aux coins et bordés de tirets, les productions en papiers découpés et en peinture sont beaux et les textes bien écrits. Dans le fond de l'autre salle, un grand livre sur des arbres bizarres était... [Lire la suite]

Cette interprétation de l'album de Cécile Gambini, "Bizarbres mais vrais" fait intervenir plusieurs techniques, à savoir le découpage et le collage avec la récupération de différents supports en  papier (partitions de musique, journal, livres, cartes routières), le dessin au feutre, au stylo à bille et le piquage. Il s'agit d'un travail des CM2 de l'école Berthelot-Sévigné, avec l'aide des intervenants de l'Espace éducatif des Accacias à Hellemmes. Présentés sous forme de mobile, les collages étaient fixés dos à... [Lire la suite]