Hou Hou cachons-nous !
Il peut être protecteur comme ceux des soignants ou des soudeurs dans certains cas, festif et joyeux pour fêter l'arrivée du printemps, mystérieux comme à Venise, rituel, tribal et guerrier, pour effrayer l'ennemi (en l'occurence, à Carnaval, l'ennemi c'est l'hiver).
Quoi qu'il en soit, le principe du masque est de cacher le visage, ou une partie du visage.
A l'école, on privilégie le papier épais et le carton.
Ceux-ci, très originaux, tiennent lieu également de costumes.
Quant à ceux-là, réalisés en tableaux, peuvent être utilisés comme masques faces-à-main, en y ajoutant un bâton pour les tenir devant les visages.
Ou bien on peut y ajouter un élastique après avoir percé des trous pour les yeux et peut-être aussi une ouverture au niveau de la bouche.
Les plus marrants sont ces masques en forme de heaumes, aux nez pointus ou aux becs larges et aux énormes yeux.
Mais il arrive que d'autres matières nous tentent. L'intérêt du plexiglas est qu'il est souple et transparent. Ce qui permet de le courber et d'y coller ce que l'on veut pour ne transformer que les yeux, le nez et la bouche.
J'aime beaucoup cette idée mais il est évident qu'enfermer le visage de l'enfant dans un tube de plastique ou même de plaquer ce matériau sur sa figure n'est pas sans risque, même si l'objet est ouvert en haut et en bas.
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Peut-être pourrait-on le remplacer par un filet qui laisse passer l'air. Mais est-ce que les collages tiendraient aussi bien ?